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La première partie
de la balade s'est faite par l'autoroute jusqu'à La Ferté Bernard selon
la technique habituelle du club : rouler groupés jusqu'à ce que l'un
se décide à envoyer, généralement suivi par un deuxième, puis un troisième
à sa poursuite, et à ce petit jeu, certains se sont montrés assidus.
Ensuite tout le monde se retrouve à la pompe à essence !
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Après
La Ferté Bernard, c'est par les petites routes de la Sarthe que nous avons
atteint Le Mans et sa place des Jacobins, puis le coeur de la vielle ville
où nous avons aligné les motos devant l'hôtel de ville place Saint Pierre. |
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Le restaurant Le 1930 avait mis sa terrasse ombragée à notre disposition pour
une pause gastronomique de 2 heures. |
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Le webmaster
prépare déjà le reportage pour le site.
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Denis,
de DMS (au premier plan), était avec nous et prêt à dispenser ses conseils
et sa connaissance du Vmax. Il roulait avec son épouse sur cette machine
de son parc d'occasions, juste révisée (photo de droite, renseignements
au 01 47 72 33 99, c'est pas de la pub c'est vraiment parce que Denis
connaît bien le Vmax et nous rend service). |
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Petit tour
dans les ruelles calmes et désertes du vieux Mans...
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...avant de se
diriger vers le circuit des 24H pour une visite du Musée, sonorisé ce
jour là par les essais préliminaires des 24H du Mans.
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Au club les protos
de salon on les fait rouler sur la route : l'un des plus beaux et plus
purs Vmax de France (présenté à Paris Tuning Show), signé Jean-Marc,
notre vice-président. L'un des plus rapides aussi (me souvient m'être
fait doubler par cet obus alors que j'étais au taquet sur une machine
débridée).
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Christian C.
un sympathisant du club, qui a signé pas mal de photos de ce reportage,
les 2 panoramiques et la vidéo.
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Retour
par les petites routes de la campagne mancelle et pause rafraîchissante
très appréciée chez Évelyne dont les parents nous ont ouvert grand les
portes de leur jardin.
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Lundi
9H. Il pleut. Dans les embouteillages la radio distille sa litanie de
mauvaises nouvelles et d'horreurs en tout genre. La parenthèse s'est refermée
mais une forme du bonheur existe c'est sûr, je l'ai vécue dimanche, tantôt
à la tête du groupe, impressionné par la puissance contenue grondant derrière
moi et remplissant mes rétros, tantôt derrière sur les petites routes,
admirant le long chapelet de machines brillantes enfilant descentes et
virages, le regard étonné des gens sur le pas de leur porte, les signes
des enfants émerveillés, les voitures qui s'écartent, la maréchaussée
pétrifiée : c'est la balade en Vmax.
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